Mai au jardin...

Ces journée de solitude sont bien remplies...les moments de tristesse ne gâchent pas le sentiment de sérénité qui m'étreint tout au long de la journée. Ces paradoxes font partie de mon quotidien.

Il y a quatre ans passer quatre jours seule sans téléphone m'aurait paru trop difficile à surmonter.
Comme quoi, on évolue en quatre ans. La sérénité, c'est doux. C'est précieux.

J'arrive à bien vivre la vie que je n'ai pas vraiment choisie, et c'est je trouve une grande avancée. J'ai compris qu'on ne mourait pas de solitude. Quelle vie est-ce, voilà la question. Chaque jour, j'y trouve un morceau de réponse.

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